lundi 14 mai 2007

Compte-rendu de la séance

Bon, il est temps d'écrire un nouvel article, les commentaires sur l'article précédent se multipliant avec une baisse progressive de qualité confinant à une certaine forme de répétition (celle qui coûte des points en rédac!) sans parler d'une légère tendance au monologue...
(Question annexe: La suppression arbitraire des répétitions inopinées peut-elle être considérée comme une forme de censure?)
Bref: voici le compte-rendu de la séance du 14 mai, que chacun(e) voudra bien commenter (même ceux qui n'ont rien à ajouter!) dans l'espace prévu à cet effet.
Développement de la scène 2D (celle de l'exposé): tout en gardant l'idée de la variante de la tarte à la crème version SVT gluante, l'incident dégénère quand Lola lance à Iris une pique (sans doute à propos de son père) dont elle mesure mal la portée; il faudrait ensuite (mais c'est une idée personnelle) que les autres prennent le parti de Lola et qu'Iris la meneuse se sente pour une fois lâchée par tous (sauf Patrick qui ne dirait rien ou prendrait sa défense).
La scène 2E, considérée comme un début de dénouement, est repoussée au troisième acte et sera suivie d'une soirée chez Timothée (scènes 3A et 3B).
A la place: une nouvelle scène dans la cour de l'école, avec d'une part un dialogue entre Iris et Patrick, à qui Iris fait part de son désarroi (scène avec son père + scène de l'exposé), puis Patrick avoue ses sentiments pour Lola (ce qui énerve Iris et peut être un motif supplémentaire pour qu'elle ne vienne pas en classe les jours suivants); d'autre part un attroupement autour de Timothée qui annonce sa prochaine soirée; enfin Lola un peu isolée, je ne sais plus pourquoi, peut-être (c'est une idée) se sent-elle mal après l'incident arrivé à Iris mais n'ose pas aller le lui dire car elle est encore avec Patrick!

A bientôt (et au boulot d'ici la prochaine séance!!!)
FBL

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Coucou c'est camille pour les chanson vu que en cour on avait parler de la mort de la grand mere de timothée enfin on a eu tout un deba la dessus mais vous voyez de quoi je parle et bien on pourait faire une chanson sur les sentiments de timothé pour sa grand mere ses lien avec elle et ou il disait aussi qu'il est triste qu'elle soit morte...

Anonyme a dit…

Salut les gens !

Je sais je vous ai manqués... *modestie, modestie, quand tu nous tiens !*
Mon ordi aussi (m'a manqué...), les retrouvailles n'ont pas été dénuées de certaine effusion inutile de sentiments...Mais je m'égare...

Je pose à l'assistance (qui est désormais de quatre personnes, selon mes estimations, moi y compris ^^) (et oui, nous battons actuellement des records, mais la gloire ne doit pas nous monter à la tête xD) une question (ouf elle a fini sa phrase !) : est-il ou non compréhensible de la part d'un être humain ordinaire (en l'occurence d'une être humaine......?) une perte de ses qualités imaginatives et réthoriques progressive, en considérant l'effet que produit une absence d'aucune forme de réponse que ce soit conjuguée au fait que l'excellence du niveau de départ empêche pour ainsi dire toute forme de progression *se référer au début du texte...*. D'aucuns me répondront purement et simplement non. Je me dois d'inciter ceux-ci à revenir sur leur réflexion, et ceci de manière répétée s'il le faut, de sorte que je n'aie pas beoin d'avoir recours à des méthodes peu orthodoxes (en l'occurence leur enduire les yeux avec de l'erreur) (admirez la méthaphore !) pour qu'ils reconnaissent la grandeur et la magnificence de mon génie. Et à ceux que ce traitement de choc n'aurait pas ébranlés dans leurs convictions, j'adresse cette citation de Jonathan SWIFT : "Quand un vrai génie apparait en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui".

(réponse annexe : Dans la mesure où des psychanalistes réputés ont admis que même nos actes involontaires étaient pour la plupart dictés par notre inconscient, on peut considérer cela comme de la censure, mais en fait peu m'importe)




Et aux preux dont la vertu (au sens latin du terme) a permis la lecture intégrale de ce paragraphe, j'adresse mes plus sincères félicitations : de fait, je serais moi-même incapable de supporter un tel ramassis d'absurdités)

Anonyme a dit…

virtus, utis, f : le courage, la vertu

Waaaa...
Ca fait toujours un choc de s'apercevoir qu'on a retenu quelquechose de trois années d'observation passive (et non des plus attentives) du cours de latin...

Et hier, vous avez fait quoi ? Oui, je sais, je devrais proposer des idées, le Retour d'Alex n'est pas un cours de latin... Mais c'est pas une raison, je discrimine pas en particulier le latin ! *sifflote*

Et pourquoi elle mourrait, mamie, il est déjà suffisament peu gâté comme ça, ce pauvre gosse ! Et je vois pas tellement l'intérêt pour la suite de l'histoire... A moins que vous ne vouliez finir ça en tragédie shakespearienne, et encore, avec une louchée de sadisme en bonus ! Bon, je vous laisse. Têchez de ne pas trop tuer de monde en mon absence ! (mais si je suis là, pas de problème ! ';.;' ^.^"